mercredi 13 octobre 2004

Sors de ce corps, saleté de virus !

Ce serait comme un sale petit parasite qui me pomperait toute énergie.
Il est là, tapi dans l’ombre, et m’empêche d’être complètement moi-même depuis une semaine, toujours un peu embrumée, pas encore complètement remise, malgré les heures de sommeil imposées par le médecin.

L’avantage, c’est le recul que je prends sur ce qu’on peut me dire, surtout au boulot. Je croyais avoir connu la restructuration la plus foireuse possible, mais non, là, on attaque carrément pire. Ceci dit, peut-être que ça me permettra de me recycler en chroniqueuse de restructurations, et de sortir un best-seller à la « Bonjour Paresse », qui sait ?
L’inconvénient, c’est que je ressemble plus à la Dame aux Camélias qu’à Claudia Cardinale et sa voix délicieusement rauque. Et en plus, je tousse pour rien, c’est juste un réflexe, on dirait.
L’avantage, c’est que dans le métro, les gens s’écartent à la moindre quinte.
L’inconvénient, c’est que j’ai du mal à suivre une idée jusqu’au bout (ça se voit ?)

Bon allez, tu peux aller t’amuser chez quelqu’un d’autre maintenant, petit virus... Une semaine, c'est un bon score, je crois bien qu’on a fait le tour de la question, tous les deux.


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