lundi 13 juin 2011

Get the rythm

Mémoire : done
Soutenance : ok
Recherche d'emploi : ok
Prise de poste : done
Remise de diplôme : à venir
Rythme : en cours d'acquisition

Bref, une bonne période où j'ai eu beaucoup à faire, et où j'ai engrangé les moments "pour moi" avant de retourner à un rythme plus classique.

Il ne me reste plus qu'à aménager mon organisation, et j'aurai le temps de repasser ici souvent !
Et vous, comment allez-vous ?

mercredi 30 mars 2011

6 semaines plus tard

J'ai fini !

Je suis venue à bout de mon mémoire. Même si j'aurais pu le compléter et travailler dessus encore un peu. Il m'a fallu faire le deuil du document parfait, exhaustif, de toutes les lectures que j'aurais pu faire pour être sûre de ne pas rater LA référence. Mais après cela, j'ai pu avancer et même conclure.
La soutenance s'est bien passée. J'avais glissé une vieille publicité dans ma présentation pour illustrer mon propos, mon jury a aimé, tant mieux.

Et pendant ce temps, ça a bien avancé aussi au niveau travail. J'ai même laissé passer un poste... sans rien regretter, je ne suis pas sûre que j'aurais été complètement à l'aise, finalement.

Donc voila, le printemps est arrivé, et avec lui, un petit break avant de commencer de nouvelles aventures.
Ça tombe très bien, j'ai des cadeaux à préparer et une fillette à entourer !

lundi 14 février 2011

D'un pied sur l'autre

Envie de printemps, mais pas envie que l'hiver finisse déjà.
Envie de repos, mais pas envie de me priver de cette tension qu'on trouve quand on est aux limites de la fatigue.
Envie de farniente, mais pas envie de lâcher les activités du moments, qui demandent et ne rendent pas encore.
Envie de retrouver de la stabilité, de la sécurité, mais pas envie de lâcher déjà la corde raide sur laquelle j'avance.

S'il ne tenait qu'à moi, je crois que je ferais durer cette période d'entre-deux. mais d'entre-deux ça ne serait plus.

C'est étonnant comme on peut prendre goût à ces états d'équilibre instable, comme ils donnent un sentiment de liberté. Et comme ils rendent vivants.

En attendant, une chose me manque, c'est le temps d'observer plus. Ecrire ce mémoire, ça demande d'être un (encore) peu plus auto-centrée que je ne le suis naturellement, et pourtant, en même temps, j'ai très envie de me remettre à photographier ce qui me tape dans l'oeil, à croquer des morceaux de vie qui me font sourire ou me donnent la pêche, d'imaginer d'autres histoires. D'ailleurs, c'est pour ça que je n'écris pas beaucoup ici, ces temps-ci, j'ai l'impression de broder sur mon nombril, alors qu'il se passe tant de choses intéressantes autour de nous.
Encore un peu de discipline, et c'est bon.

jeudi 10 février 2011

Busy little bee

Ça y est, la date de soutenance est fixée, par ricochet, celle de rendre mon travail aussi. Et, au secours, ça me semble tellement proche. D'autant que, comme par hasard, je collectionne les petits pépins qui vous mettent à plat une journée par-ci (tiens, d'habitude, je ne suis jamais malade en mangeant ceci, en tout cas pas au point de ne pas pouvoir bouger pendant 24 heures), quelques heures par-là (mais qu'est-ce que j'ai à l'oeil qui me gêne pour lire ? Une conjonctivite, vous dites ? C'est ma première, je n'aurais pas cru que ça faisait ça).

En plus, le temps s'en mêle, on dirait un petit printemps qui arrive, ça me donne des envies de dehors et de photo. Avec les vacances scolaires qui commencent demain, il va me falloir une bonne dose de discipline pour tenir la ligne et être efficace, donc.

Même pas beaucoup de temps pour lire les blogo-copines, quelle tristesse. En avril, c'est promis, je m'accorde du temps. Sauf si j'ai trouvé du travail d'ici là...

dimanche 30 janvier 2011

Dimanche, comme un dimanche

D'un côté, il y a le flot des informations, le monde qui est une fois encore (j'allais écrire en corps, curieux) en train de changer. Pour devenir quoi, trop tôt pour le dire, mais ça va changer, c'est sûr. Et l'optimiste en moi se dit que ça ne peut qu'être mieux, mais...
Et donc, comme toujours, j'écoute et je regarde, je lis, je guette, en multipliant les sources pour essayer d'avoir une idée plus juste, moins partisane de ce qui arrive.
Ça rappelle la chute du mur, un peu. Je dis à la fillette qu'elle s'en souviendra plus tard, de ces jours-ci.


Et puis de l'autre, une de mes chères copines du net qui vient de perdre une amie. Et ça me replonge dans des moments pas si lointains. On n'est pas fait pour perdre des gens si vite, si brutalement. Des gens qui n'ont pas fini leur vie, qui ont des enfants qui ont besoin d'eux, un amour qui n'a pas pu se préparer à cette perte, ne l'a sûrement jamais imaginée, des parents qui n'ont jamais pensé devoir continuer à vivre comme ça, avec le manque à chaque instant. C'est trop violent, ça fait trop mal.
J'y pense souvent... je me demande à quoi elle a pensé quand l'accident est arrivé. Et puis je regrette tellement de ne pas avoir assez pris le temps avec elle. Je suis tellement triste pour ceux qui restent, sans elle. Impuissante aussi à pouvoir les aider, à trouver quoi leur dire, trouvant chaque mot inapproprié.
Ne jamais oublier que nous ne faisons que passer, mais quand même...
Ne jamais oublier de dire qu'on aime, surtout. Et profiter de chaque rayon de soleil.

vendredi 21 janvier 2011

Ca file !

Comme le sucre de la barbapapa.
On tourne, et ça gonfle, ça gonfle, jusqu'à ce qu'on ne voit plus que vos yeux derrière le nuage de sucre rose ou blanc, vaporeux et moelleux.

Janvier a commencé à toute allure. Je lis des livres intéressants, je rencontre des gens qui ont des convictions, j'essaie de retranscrire le tout au mieux dans mon mémoire. La date de soutenance est fixée, le compte à rebours est enclenché.
Maintenant que je suis lancée, ça va mieux, il m'est moins pénible de me battre avec mes idées et mes mots, de les mettre en ordre de bataille et d'en faire quelque de cohérent, et surtout d'intéressant.
Mais que les débuts me paraissent toujours laborieux et rébarbatifs...
Ensuite, dès que le travail s'installe, je prends mes marques et ça va, je mets mon châle (et je me fais chambrer gentiment sur ce truc des rituels, de la "cape d'écrivain" que je m'imagine) et je ne vois plus le temps passer. Juste les mots qui s'inscrivent sur l'écran.

Et puis les projets commencent à avancer, j'ai à la fois peur de (re)commencer à travailler et très envie. En tout cas, jusqu'ici, tout va bien...

samedi 1 janvier 2011

Auguri