mercredi 19 avril 2006

Pigeon again

Donc, aventures avec les pigeons, suite (et fin, j'espère).

Ils ont donc pris l'habitude de venir pondre dans une jardinière de la fenêtre de la chambre de la fillette (j'arrête les "de quelque chose ou quelqu'un").
Même en plein hiver, parce que le pigeon des villes, sachez-le, pond absolument n'importe quand, il ne connait plus les saisons, du tout.


Ils ne vont pas dans le magnifique pigeonnier expérimental que la ville de Paris leur met à disposition à quelques centaines de mètres de chez moi.



Bon, en voyant le truc en vrai, et eu égard au fait que je ne tiendrais même pas debout dedans, ça doit être difficile de trouver une place dans une mini-cabane sur-surpeuplée...

Donc, un samedi après-midi, je vois un pigeon dans la jardinière, comme souvent. Je secoue le rideau, il ne bouge pas.
"Argh, il est mort."
Bien sûr, la pounette n'en perd pas une miette.
On doit partir, je fais donc diversion.
Dimanche, il est toujours là et donc mort, et ses potes lui grimpent dessus. Eurk et re-eurk.
Lundi, j'appelle la mairie. D'après les explications qu'on me donne, le bidule est chez moi, à moi de me débrouiller avec. Pas besoin d'analyses, les manifs anti-CPE ont réglé le problème de la grippe aviaire définitivement.
Le syndic de co-propriété n'a jamais entendu parler d'un truc pareil : c'est le premier pigeon mort du quartier, on dirait.
Mardi, ouf, je fais tellement pitié qu'un collègue mais aussi ami gentil vient débarrasser ma fenêtre du volatile. Je fuis bravement l'appartement pendant ce temps, de toute façon, ma réputation est déjà grillée.

Donc, il y avait un pigeon mort, mais aussi des oeufs qu'il aurait dû couver, trop classe.

Ca a dû calmer les autres, ils ne viennent plus sur la fenêtre (pour l'instant).



Garder l'oeil ouvert

mercredi 12 avril 2006

Ca tease...

Ce soir, si j'ai la force, la suite de mes aventures avec mes amis volatiles.

D'ici là, vous pouvez relire les tout premiers épisodes de la saga.

samedi 8 avril 2006

C'est le sens de la vie (?)

J'ai mis plus de 3 semaines à lire un livre que j'ai trouvé pénible... Pressée d'en finir, parce qu'au bout d'un moment, se battre avec sa lecture, ça insupporte, pressée de passer à une lecture plus agréable et surtout plus conforme à mon état d'esprit du moment.

Au bout de trois semaines, je finis par en finir (c'est tout dire).
Et je passe à mon premier Dany Laferrière, pris un peu au hasard à la bibliothèque.
Et devinez quoi ?
C'est un tel régal que je le finis en 3 jours.

Injuste, non ?

Ce serait pas un peu comme dans la vraie vie, hum ?


PS spécial Bibz : la request romantique de la semaine : "ne crains rien je t'aime"