vendredi 3 juin 2005

Duralex, sed lex

D'abord je vais vous rassurer, j'ai retrouvé mes clés (et ma tête), que j'avais laissées (les clés, pas la tête), dans le placard que j'avais retourné avant de partir précipitamment au boulot dans le but de prendre un baladeur cd (oui, je suis vieille, j'ai pas de baladeur MP3) pour pouvoir somnoler dans le métro en écoutant mon cd (même pas gravé par mes soins) de Bashung, le sublime Fantaisie Militaire (des années après sa sortie, je ne m'en lasse toujours pas).

Le but de cette note est néanmoins de rendre hommage aux salariés de Duralex, dont la société vient d'être mise en cessation de paiement. C'est la fin d'une époque, celle où les enfants se demandent à la cantine : "et toi, t'as quel âge ?" "92 ! hin hin hin !" répond-on après avoir retourné son verre.
Triste, triste...

Une petite touche de gaité néanmoins, ça crée des quiproquos savoureux, cette histoire :

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