samedi 30 avril 2005

Strange days

Il y a des moments où tout se goupille de travers, où on devrait être content, mais non, on traîne sa mauvaise humeur sans pouvoir s'en débarrasser, en se disant que non, décidément, rien ne se passe comme on voudrait.

Personne ne voit ce qui cloche, pendant qu'on se chante en boucle "Rien qui va", comme Clarika (chanteuse pas très connue, qui écrit des perles drôles et/ou émouvantes et que je vous conseille).

Mais on se doûte, qu'au fond, c'est probablement un de ces moments qui font avancer, alors on accepte sa mauvaise humeur, on finit de lire Blonde, qui est quand même déprimant, et on passe à quelque chose de plus léger, on s'accorde du sommeil, on ressort ses jupettes et on sourit au soleil.

Et on se fait un coup de Clarika pour retrouver la pêche (pas "non, ça s'peut pas" parce que c'est larmoiement assuré).

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