mardi 24 avril 2007

Un titre, mais pourquoi ?

Nous sommes revenues après quelques jours de vacances. Ecourtées par une alerte à la méningite qui nous a obligées à repousser notre départ de quelques jours en attendant la fin du traitement prophylactique (j'aime bien écrire des mots compliqués).

Contre toute attente, malgré le rythme soutenu des quelques jours passés en famille, nous sommes rentrées reposées. Et pourtant, visite paternelle, journée avec ma mère et ma nièce-la-plus-petite, journée avec mes deux mini-nièces-jolies, patisserie pour l'anniversaire de mon frère et sa chérie, repas de famille, terrasse au soleil, des après-midi sur la pelouse du parc, entre Vialatte et carambar à la barbapapa (invention diabolique) et puis quand même rédaction de tract puis réunion de travail par téléphone avec les oiseaux qui chantent dans le lilas blanc comme fond sonore (et ça valait la peine, après le goût amer des dernières semaines, ma bande et moi avons eu gain de cause)...

Quelques jours pour recharger les batteries, donc. Le retour n'est pas si évident, mais avec le soleil, ça devrait aller.
Quelques jours aussi pour relativiser le sentiment de devoir plus se battre quand on est une fille. Peut-être que j'en reparlerai ici, plus tard, mais je n'ai pas aimé cette impression, nouvelle pour moi, du moins sous cette forme.

Le retour du soleil, des envies de promenade sans but...



samedi 7 avril 2007

Panne temporaire

Bon, bon, bon...

Quelques idées de posts en tête (pas forcément toutes hyper (simples et) funky, mais des trucs qui me tienne à coeur), le soleil qui revient, les vacances qui approchent. Et là, paf, c'est le drame : mon ordi à moi que j'ai me boude.

Ca couvait depuis un moment, mais là, ça y est, le connecteur de l'alimentation ne veut plus faire son boulot, donc a plus, l'allumage de la bestiole.

Et ce qui m'ennuie, c'est que je risque de me récolter une réparation d'environ 200€ (sa mère), pour une pièce qui coûte 8€ sur ebay. Joie, bonheur, exaltation et zen absolus.
Lalala.
Je vais avoir du mal à vendre à ma banquière qui commence à m'appeler à 8h du matin pour me dire que ça va pas du tout que la réparation est indispensable, hein ?

Du coup, me voilà contrainte d'écrire depuis un portable qui n'a pas servi depuis 2005, avec toutes les applications et la mémoire saturée d'époque, je ne cause même pas de l'absence de wi-fi et donc de l'obligation de rester collée au modem en usb (argh, argh, argh) et du clavier rajouté pour pallier à la grève de la moitié des touches du clavier d'origine. Mais c'est mieux que rien, quand même.

Je passe sur mon appareil photo tombé de la hauteur vertigineuse de 5 cm dont l'objectif ressemble maintenant à la tour de Pise...

Donc je vous parlerai de la place des dames dans l'entreprise une autre fois, pareil pour l'état de santé des aborigènes. Vous l'avez échappée belle, on dirait. Et puis les illustrations, on verra quand elles reviendront.