Vous l'aurez sans doûte remarqué (si vous êtes perspicace, du moins), j'ai un nouveau jouet...
jeudi 28 juillet 2005
Funambulisme
Faut savoir s'étendre
Sans se répandre, pauvre Lola
Faut s'avoir s'étendre
Sans se répandre, c'est délicat
(Serge Gainsbourg)
mercredi 27 juillet 2005
Hasta la vista, baby
Bon, j'exagère un peu. Ca va plutôt bien.
Sauf que j'aimerais bien réussir à me dépêtrer de ce qui m'encombre et prendre un peu de recul pour pouvoir avancer (et oué).
D'ailleurs, j'ai très envie de faire des notes souriantes, de poster des images qui parlent, mais bon, là tout de suite je suis plutôt dans une spirale de toupie folle (hum)... Faudra attendre un peu, quoi.
A part ça, j'ai trouvé la solution pour voyager sans importun sur le siège d'à côté : en 1ère classe et avec une fillette en pleine forme.
Sauf que j'aimerais bien réussir à me dépêtrer de ce qui m'encombre et prendre un peu de recul pour pouvoir avancer (et oué).
D'ailleurs, j'ai très envie de faire des notes souriantes, de poster des images qui parlent, mais bon, là tout de suite je suis plutôt dans une spirale de toupie folle (hum)... Faudra attendre un peu, quoi.
A part ça, j'ai trouvé la solution pour voyager sans importun sur le siège d'à côté : en 1ère classe et avec une fillette en pleine forme.
lundi 25 juillet 2005
Atrophie corticale
Dans la veine des perles de (p) relevées par Fredoche, de l'entendu hier à la radio :
"C'est l'une des trois jumelles d'Armstrong"
Bien sûr, aucun des 3 autres journalistes-commentateurs n'a relevé...
"C'est l'une des trois jumelles d'Armstrong"
Bien sûr, aucun des 3 autres journalistes-commentateurs n'a relevé...
samedi 23 juillet 2005
jeudi 21 juillet 2005
Et si... et si...
Hier, je lisais les états d'âme de Miss Lulu, et ça remue des choses de mon côté.
En particulier, quand ça va pas bien, que je suis obligée de tourner des pages plus ou moins contre mon gré, plus ou moins violemment, reviennent les souvenirs des gens pas vus depuis longtemps, ceux avec qui on aurait pu faire un bout de chemin mais on n'a pas pu ou voulu le faire. Pour des raisons bonnes ou moins bonnes.
Parfois, je me demande ce qu'ils sont devenus, les quelques uns dont je garde un souvenir ému. Quelle est leur vie maintenant ? Où sont-ils ? Est-ce que je les reconnaîtrais si je les croisais ? Et eux ?
Il y a la tentation d'en retrouver certains, et puis au final, l'idée que ce serait bien étrange, et qu'on ne déboule pas dans la vie des gens comme ça, que ça ne se fait pas.
Mais cette note de miss Lulu, ça me donne à penser que ce n'est pas si simple en fait, et qu'il faudrait oser, de temps en temps, arrêter de se donner des bonnes raisons de ne pas faire les choses.
Parfois, la vie a ce petit goût-là
En particulier, quand ça va pas bien, que je suis obligée de tourner des pages plus ou moins contre mon gré, plus ou moins violemment, reviennent les souvenirs des gens pas vus depuis longtemps, ceux avec qui on aurait pu faire un bout de chemin mais on n'a pas pu ou voulu le faire. Pour des raisons bonnes ou moins bonnes.
Parfois, je me demande ce qu'ils sont devenus, les quelques uns dont je garde un souvenir ému. Quelle est leur vie maintenant ? Où sont-ils ? Est-ce que je les reconnaîtrais si je les croisais ? Et eux ?
Il y a la tentation d'en retrouver certains, et puis au final, l'idée que ce serait bien étrange, et qu'on ne déboule pas dans la vie des gens comme ça, que ça ne se fait pas.
Mais cette note de miss Lulu, ça me donne à penser que ce n'est pas si simple en fait, et qu'il faudrait oser, de temps en temps, arrêter de se donner des bonnes raisons de ne pas faire les choses.
Parfois, la vie a ce petit goût-là
lundi 18 juillet 2005
I'm on a plain train, I can't complain
Cette fois-ci, j'avais pris mes précautions.
Better have an extra bag
Than an ugly guy
Sitting next to me...
Merci pour le bout de slam, Zydeco
Better have an extra bag
Than an ugly guy
Sitting next to me...
Merci pour le bout de slam, Zydeco
jeudi 14 juillet 2005
So french, la suite
Imaginez un vendredi ordinaire.
Vous arrivez au bureau en pensant que le week-end arrive, que la pounette est en vacances et que c'est chouette, vous pensez à vos occupations du lendemain, à la fête que vous organisez le dimanche... Bref, une journée tranquille s'annonce.
En général, j'aime bien observer le moment où le grain de sable va gêner le fonctionnement de l'engrenage, mais chez les autres. Genre le chanteur du bal du 14 juillet qui tente d'embraser la foule en chantant Born to be alive, braille dès la dernière note que le retour est mauvais, puis, déconcentré, se met à massacrer Cette année-là.
En revanche, en ce qui me concerne, j'adore qu'un plan se déroule sans accroc (et pourtant je ne travaille pas à l'agence tourix).
Mais ce vendredi-là, le destin en avait décidé autrement, puisqu'on (je n'entre pas plus dans le détail de qui et pourquoi, à moins que quelqu'un souhaite vraiment savoir avec quel genre de créatures je travaille), donc on m'avertît (au subjonctif, à moins qu'on m'avertissat ?) qu'il me fallait participer à une réunion sur le champ.
Et quelle réunion : la signature d'un gros contrat avec un fournisseur, qui compte parmi les leaders de l'informatique et l'électronique grand-public.
Bon, me voici donc entre "on", mon directeur général, le représentant en France du fournisseur et 3 quadragénaires taïwanais munis de lunettes carrées et de stylos Mont-Blanc, respectivement président d'une division en Europe, président de la même division pour le monde et directeur de la recherche de cette division pour le monde.
Tout le monde est honoré d'être là et de travailler ensemble, d'ailleurs chacun apprécie réellement la manière dont le dossier avance, les efforts de l'autre et tout ce qui va avec. Limite courbettes.
Je me tiens bien, je ne fais pas de blague au second degré, et j'apprécie ma chance d'être là, même.
Sauf qu'il y a juste un tout petit problème.
Oui, parce que je suis la seule femme au milieu de ces messieurs encostumés.
Et donc un peu responsable d'être une ambassadrice de la parisienne, de véhiculer une certaine image d'élégance et de charme auprès de ces représentants de l'Asie, de transmettre l'image glamour du chic français, quoi.
Sauf qu'on ne m'a prévenu que quelques minutes avant la réunion...
Donc voila, ils sont repartis avec une image un peu moins cliché de la femme française finalement.
Vous arrivez au bureau en pensant que le week-end arrive, que la pounette est en vacances et que c'est chouette, vous pensez à vos occupations du lendemain, à la fête que vous organisez le dimanche... Bref, une journée tranquille s'annonce.
En général, j'aime bien observer le moment où le grain de sable va gêner le fonctionnement de l'engrenage, mais chez les autres. Genre le chanteur du bal du 14 juillet qui tente d'embraser la foule en chantant Born to be alive, braille dès la dernière note que le retour est mauvais, puis, déconcentré, se met à massacrer Cette année-là.
En revanche, en ce qui me concerne, j'adore qu'un plan se déroule sans accroc (et pourtant je ne travaille pas à l'agence tourix).
Mais ce vendredi-là, le destin en avait décidé autrement, puisqu'on (je n'entre pas plus dans le détail de qui et pourquoi, à moins que quelqu'un souhaite vraiment savoir avec quel genre de créatures je travaille), donc on m'avertît (au subjonctif, à moins qu'on m'avertissat ?) qu'il me fallait participer à une réunion sur le champ.
Et quelle réunion : la signature d'un gros contrat avec un fournisseur, qui compte parmi les leaders de l'informatique et l'électronique grand-public.
Bon, me voici donc entre "on", mon directeur général, le représentant en France du fournisseur et 3 quadragénaires taïwanais munis de lunettes carrées et de stylos Mont-Blanc, respectivement président d'une division en Europe, président de la même division pour le monde et directeur de la recherche de cette division pour le monde.
Tout le monde est honoré d'être là et de travailler ensemble, d'ailleurs chacun apprécie réellement la manière dont le dossier avance, les efforts de l'autre et tout ce qui va avec. Limite courbettes.
Je me tiens bien, je ne fais pas de blague au second degré, et j'apprécie ma chance d'être là, même.
Sauf qu'il y a juste un tout petit problème.
Oui, parce que je suis la seule femme au milieu de ces messieurs encostumés.
Et donc un peu responsable d'être une ambassadrice de la parisienne, de véhiculer une certaine image d'élégance et de charme auprès de ces représentants de l'Asie, de transmettre l'image glamour du chic français, quoi.
Sauf qu'on ne m'a prévenu que quelques minutes avant la réunion...
Donc voila, ils sont repartis avec une image un peu moins cliché de la femme française finalement.
lundi 11 juillet 2005
Mais pourquoi ?
Oui pourquoi, alors que je prends une pauvre fois par an le train à 7h15 et que le wagon est à demi-vide, pourquoi c'est à côté de moi qu'il vient s'installer, le monsieur pas joli ni sympathique ?
Hein ? Alors que je suis semi-allongée sur les 2 sièges, et que plein de gens ne dorment pas et se tiennent droit et laissent la place libre à côté d'eux ?
C'est juste pour que je ne dorme pas ? Ou pour ne pas être le seul à ne pas se rendormir ?
Pfff.
Hein ? Alors que je suis semi-allongée sur les 2 sièges, et que plein de gens ne dorment pas et se tiennent droit et laissent la place libre à côté d'eux ?
C'est juste pour que je ne dorme pas ? Ou pour ne pas être le seul à ne pas se rendormir ?
Pfff.
mercredi 6 juillet 2005
mardi 5 juillet 2005
Le cercle
C'est l'histoire d'une petite abeille qui se cogne toujours à la même vitre et ça lui fait mal.
Elle voudrait faire autrement, mais la vitre est toujours là, et à chaque fois, elle s'écrase dessus.
Heureusement, elle voit presque toujours le bon côté des choses, elle a des ressources de sourire, mais toujours cette saleté de vitre dans laquelle elle fonce tête la première.
Alors aujourd'hui, la petite abeille a décidé qu'elle en avait assez de se faire mal, et qu'elle devait sortir du cercle contre lequel elle se cogne.
C'est très bête, j'avais des notes drôles à écrire, mais aujourd'hui, je manque un peu de force.
Elle voudrait faire autrement, mais la vitre est toujours là, et à chaque fois, elle s'écrase dessus.
Heureusement, elle voit presque toujours le bon côté des choses, elle a des ressources de sourire, mais toujours cette saleté de vitre dans laquelle elle fonce tête la première.
Alors aujourd'hui, la petite abeille a décidé qu'elle en avait assez de se faire mal, et qu'elle devait sortir du cercle contre lequel elle se cogne.
C'est très bête, j'avais des notes drôles à écrire, mais aujourd'hui, je manque un peu de force.
samedi 2 juillet 2005
Tenue d'été
Bon, voilà, ce blog est rhabillé à neuf.
Un grand merci à Angel pour sa contribution en tant que Directrice Artistique, de nombreux yeux vont être soulagés grâce à elle.
Un grand merci à Angel pour sa contribution en tant que Directrice Artistique, de nombreux yeux vont être soulagés grâce à elle.
vendredi 1 juillet 2005
La phrase du matin
Je vous ai déjà que j'étais fan de ma copine Gluglu (celle qui donne des recettes-qui tchuent et qui sont très bonnes, surtout après une journée de plage avec deux mini-poulettes puis une virée au bien-nommé Funnyland, lieu de débauche des 10 ans et moins).
Donc, je vous le dis si c'est pas fait : je suis présidente de son fan club. Entre autres pour des trucs comme ça :
"hier soir J'ai ete voir Douches froides
la piscine etait fermee"
Donc, je vous le dis si c'est pas fait : je suis présidente de son fan club. Entre autres pour des trucs comme ça :
"hier soir J'ai ete voir Douches froides
la piscine etait fermee"
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